18 février 2005
L'effet papillon
La Terre vit dans la prospérité et le bonheur, et ceux grâce à la pompe à électrons qui fournit une énergie illimitée et gratuite. Isacc Asimov nous transporte dans "Les Dieux eux-mêmes" en 2070, dans une civilisation qui vit sans se faire de soucis, qui n'a pas peur du lendemain, une civilisation qui vit peut-être aux crochets d'une autre...
En effet, cette invention prodigieuse, miraculeuse pour toute une société, ne sonnerait-elle pas le glas de l'univers ? La pompe à neutrons, une menace imparable pour tout l'Univers ? Un piège tendu par une autre civilisation ? Ou alors tout simplement une malédiction des Dieux ? Evidement personne ne croît l'histoire insensée d'un jeune physicien marginal. "Contre la stupidité, les Dieux eux-mêmes luttent en vain."
Isaac Asimov nous proposent ici de suivre trois histoires totalement différentes, innovantes sur bon nombre de points, inoubliables certainement : l'imagination sans limite d'Asimov se joue encore de nous et nous propose trois parcours atteignant chacun le même but. Un mystère se cache derrière la pompe à neutrons, et Asimov nous propose subtilement de découvrir les nombreuses facettes d'un même événement.
"A l'humanité, avec l'espoir qu'un jour peut-être nous remporterons la guerre contre la folie des gens"
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